samedi 29 avril 2017

Le Zodiac (1)

Nom : Inconnu
Prénom : Inconnu
Surnoms :  Le Zodiac
                   Le tueur du Zodiaque






: années 60-70
A : Banlieue de San Francisco (Californie, Etats-Unis)
Nombre de victimes : 5 meurtres, deux tentatives de meurtre et un enlèvement sont attribués au Zodiac. Pars ses diverses lettres, il revendique trente-sept victimes.



Sa vie : 

Les seuls éléments avérés qui concernent le tueur du Zodiac ont pu être extraits de ses lettres et des descriptions des victimes survivantes. Il s’agit d’un homme blanc, entre trente et quarante ans et probablement ambidextre.

Ses Crimes : 

Plusieurs agressions sont commises entre décembre 1968 et juillet 1969 dans la région de San Francisco. En août 1969, un homme se présentant sous le nom de Zodiac revendique ces crimes par une lettre envoyé à trois journaux. Cette lettre est accompagnée d’un message codé. Par la suite le Zodiac, va régulièrement revendiquer des crimes (preuves à l’appui) ou menacer d’en commettre et ce jusqu’en 1978.

Enquête :

Lors du cinquième meurtre attribué au Zodiac (celui de Paul Stine), la police San Francisco et toute proche d’interpeler le Zodiac. Ce dernier est en effet interrogé par les agents qui poursuivent le meurtrier de Paul Stine. Le Zodiac doit son salut à une mauvaise description transmise par la radio de la police qui recherche alors un suspect afro-américain.
On dénombre 2 500 suspects interrogés. Parmi ces suspects, les principaux sont Arthur Leigh Allen et Rick Marshall. Cependant aucun des suspects ne convient parfaitement.
En 1978, une seizième et dernière lettre fut envoyée à la police rappelant que le tueur était toujours présent et que jamais il ne serait arrêté. L'auteur précisait également qu'il souhaiterait qu'un film fût fait sur lui. À ce jour le Zodiac n'a plus donné signe de vie mais reste l'un des tueurs les plus énigmatiques en criminologie.


Condamnation :

En avril 2004, la police de San Francisco clôt officiellement l'affaire, bien que l'identité du tueur reste inconnue et qu'il n'existe pas de loi de prescription pour le meurtre. L'affaire reste ouverte dans le comté de Napa et à Vallejo.


jeudi 27 avril 2017

Ed Gein (4)

Ed Gein au cinéma : suite et fin

Le silence des agneaux (Jonathan Demme 1991)

avec Jodie FOSTER, Anthony HOPKINS, Scott GLENN,Ted LEVINE

Synopsis : Un psychopathe connu sous le nom de Buffalo Bill sème la terreur en kidnappant et en assassinant de jeunes femmes. Clarice Starling, une jeune agent du FBI, est chargée d'interroger l'ex-psychiatre Hannibal Lecter. Psychopathe redoutablement intelligent et porté sur le cannibalisme, Lecter est capable de lui fournir des informations concernant Buffalo Bill ainsi que son portrait psychologique. Mais il n'accepte de l'aider qu'en échange d'informations sur la vie privée de la jeune femme. Entre eux s'établit un lien de fascination et de répulsion.
Buffalo Bill le psychopathe du Silence des Agneaux, écorche ses victimes pour confectionner des vêtements avec leur peau.


Anecdote : Afin de mettre en scène un psychopathe crédible, Demme et son équipe se sont lancés dans de longues recherches, qui ont abouti à la naissance de James " Buffalo Bill ", un pot pourri de trois tueurs en série ayant existé : Ed Gein, qui s'habillait avec la peau de ses victimes et se regardait régulièrement dans des miroirs. Le second était Ted Bundy, un étudiant, qui usait d'un faux plâtre au poignet afin de susciter la pitié des jeunes filles. Enfin, une troisième source d'inspiration est le tueur Gary Michael Heidnick, qui détenait des femmes dans une cave et les séquestrait.

mardi 25 avril 2017

Ed Gein (3)

Ed Gein au cinéma : suite

Massacre à la tronçonneuse (Tobe Hooper 1974)

Le personnage principal de Massacre à la tronçonneuse, Leatherface, fabriquait du mobilier et des masques avec les os et la peau de ses victimes. Massacre à la tronçonneuse est un  slasher = Un slasher met systématiquement en scène les meurtres d’un tueur psychopathe, généralement masqué, qui élimine méthodiquement un groupe de jeunes individus, souvent à l’arme blanche.






Anecdote : Brièvement distribué en France en 1974, Massacre à la tronçonneuse a été interdit en 1975, puis ressorti en salles en 1977 avec une classification "X" pour être finalement interdit au moins de 18 ans en 1981.


dimanche 23 avril 2017

Ed Gein (2)

Ed Gein au cinéma


Psychose (Alfred Hitchcock 1960)


Norman Bates (Anthony Perkins) dans Psychose d’Hitchcock a momifié sa mère pour essayer de la faire revivre (le film est adapté d’un roman de Robert Bloch, lequel vivait dans le Wisconsin, près des lieux où vivait Ed Gein).











Anecdote : Le soutien-gorge que porte Janet Leigh au début du film est blanc, car Alfred Hitchcock voulait insister sur le côté angélique, et tromper le spectateur en la faisant passer pour une femme innocente. Après que son personnage vole l'argent, le soutien-gorge devient noir.


vendredi 21 avril 2017

Ed Gein (1)

Ed Gein
Nom : Gein 
Prénom : Edward Theodore
Surnoms : La Goule de Plainfield
                Le Boucher de Plainfield







: 27 août 1906
A : La Crosse (Wisconsin, Etats-Unis)
Nombre de victimes : 2 victimes certaines, mais des morceaux de corps retrouvés chez Ed Gein n’ont pas pu être identifiés.


Sa vie : 

Ed Gein est né dans la petite ville américaine de La Crosse. Second enfant d’une famille ouvrière, Gein est dès sa plus tendre enfance pris entre un père alcoolique et une mère tyrannique. A partir de l’âge de 8 ans, Il grandit dans une ferme à Plainfield où ses parents ont déménagé. Cet enfant très discret n’a que peu d’amis. Avec son frère, ils vivent sous la coupe autoritaire de leur mère après la mort de leur père en 1940. Entre terreur et adoration, Ed Gein voue un véritable culte sa mère et développe des penchants schizophréniques. Après la mort de son frère en 1944 et celle de sa mère en 1945, il vit reclus dans leur ferme isolée.

Ses Crimes : 

La disparition d’une commerçante de Plainfield en 1957 conduit la police à fouiller la maison d’Ed Gein. Ils y découvrent une vision d’horreur. La pauvre femme suspendue à un croc de boucher a été dépecée. Les enquêteurs retrouvent également les restes d’une tenancière de bar disparue deux ans auparavant, ainsi que des morceaux de cadavres exhumés des cimetières des environs.

Enquête :

Devant l’évidence des preuves est inculpé et soumis à des tests psychiatriques qui révèlent outre la schizophrénie des tendances fétichistes et nécrophiles.

Condamnation :

La justice ne le jugera finalement qu’en 1968, le considérant alors sain d’esprit. Il sera condamné pour meurtre avant d’être finalement acquitté, la justice le considérant irresponsable au moment des faits. Il vivra interné à l’hôpital psychiatrique pour fou criminel de Waupun (Wisconsin) et mourra en 1984 d’une insuffisance respiratoire.

mercredi 19 avril 2017

Henri Désiré Landru (3)

Henri Désiré Landru au cinéma : suite et fin


Landru (Claude Chabrol 1963)


Dialogues de Françoise Sagan. Avec Charles Denner le magnifique cavaleur de « L’homme qui aimait les femmes »  au foyer  dans le cas présent ! Humour noir pour ce Chabrol qui brille par la qualité de la reconstitution de l’époque .Très (trop ?) théâtral.
Chabrol, dénonce les travers d’une société guerrière.
Il nous propose un Landru à l’humeur badine, presque sympathique. Les meurtres ne sont pas montrés, juste suggérés par une fumée noire s’échappant de la cheminée. Parti pris du réalisateur.
 


Anecdote : Toutes les tirades du procès, qui occupe la dernière demi-heure du film, sont véridiques, en particulier celle où l’avocat affirma que des victimes avaient été retrouvées et allaient venir se présenter devant la Cour d'Assises.
À son avocat qui, au pied de l'échafaud, lui demandait si, finalement, il avouait avoir assassiné ces femmes, Landru répondit : « Cela, Maître, c'est mon petit bagage... ». 
En 1946, à la même question et dans les mêmes circonstances Marcel Petiot répondra : « Je suis un voyageur qui emporte ses bagages ».

lundi 17 avril 2017

Henri Désiré Landru (2)

Henri Désiré Landru au cinéma


Monsieur Verdoux (Charlie Chaplin 1948)


Synopsis : Un employé de banque parisien, Henri Verdoux, est réduit au chômage par la crise de 1929. Pour subvenir aux besoins de sa femme invalide et de son fils, il épouse de riches veuves qui meurent rapidement après les noces. Mais, les proches de la dernière victime ont des soupçons. Une première enquête menée contre lui n'aboutit pas. Verdoux multiplie ses victimes, et finit par se rendre à la justice. Au terme de son procès, il est guillotiné.

Orson Welles est à l’origine du projet. Tragicomédie, ce film est le 1er ou Chaplin abandonne Charlot. De par la mise en scène, Landru (Verdoux) est presque rendu sympathique. Film préféré de Chaplin mais gros échec commercial. Chaplin entend par ce film dénoncer le malaise d’une société mercantile

Anecdote : Le film sort dans un contexte particulier, nous sommes en plein Maccartisme et Chaplin est soupçonné de sympathie envers le communisme. Il quittera définitivement l’Amérique en 1952.


jeudi 13 avril 2017

Henri Désiré Landru (1)

Landru
Nom : Landru
Prénom : Henri Désiré
Surnoms :  Le Barbe-Bleue de Gambais
                 




: 12 avril 1869
A : Paris (19ème arrondissement)
Nombre de victimes : 11 victimes




Sa vie : 

Henri Désiré Landru est issu d'une famille modeste. Bon élève, ses parents envisagent de le faire rentrer au séminaire. Il échoue lors de ses études d’architecte. Il se marie en 1893 et aura quatre enfants. Pendant plus de quinze ans il vit de petites escroqueries qui lui valent de nombreuses condamnations et la peine de relégation (condamnation au bagne par contumace).  Ne pouvant pas être reconnu par les victimes de ses escroqueries, il sera alors contraint de débarrasser des témoins gênants.

Ses Crimes : 

Landru profite du contexte trouble de la première guerre mondiale pour mettre en place une escroquerie au mariage. Il se présente comme un homme riche cherchant une épouse. Il choisit des femmes isolées, fait main basse sur leurs biens avant de les tuer et de détruire leur corps.

Enquête :

Le maire de la ville de Gambais est sollicité par des familles qui n’ont plus de nouvelles d’un proche. Surpris par cette demande inhabituelle, il mène une enquête qui le met sur la piste d’un homme ayant plusieurs identités visiblement fausse. Il remet alors cette affaire aux mains de la police qui finit par confondre Landru dans plusieurs affaires de disparitions, entre février 1915 et son arrestation le 12 avril 1919. Les onze disparitions qui lui sont imputées s’avéreront être des meurtres.

Condamnation :

Le procès de Landru s’ouvre en novembre 1921. Par la couverture de la presse et l’éloquence du prévenu, il sera l’un des procès les plus retentissants des années folles. Le Tout-Paris se bouscule à la cour d’assises de Versailles. Landru sera  reconnu coupable des 11 meurtres et sera décapité le 25 février 1922  à Versailles.

lundi 10 avril 2017

Joseph Vacher (2)

Joseph Vacher au cinéma


Le Juge et l’Assassin (Bertrand Tavernier 1976)


Avec Michel GALABRU, Philippe NOIRET Isabelle HUPPERT, Jean Claude BRIALY, Yves ROBERT


Joseph Vacher s’appelle Joseph Bouvier. Tavernier insiste sur l’obstination d’un juge à prouver que l’assassin n’est pas fou et peut donc être jugé et condamné. Arrivisme.  Le film se situe exactement à l'époque où les neuropsychiatres français qualifiaient les vagabonds « d'aliénés migrateurs » atteints de « dromomanie ».

Bertrand Tavernier adapte d'un fait divers du XIXe siècle pour dénoncer une justice de classe. Cette justice de classe c'est d'abord celle qui n'accorde pas à Bouvier le bénéfice de la folie qui lui permettrait d'échapper à la guillotine.

Tueur en série, égorgeur et violeur de jeunes bergères, Joseph Bouvier est manifestement un déséquilibré mental. Symbole de la justice et de l’ordre social, le Juge Rousseau (Philippe Noiret) fait son devoir de magistrat mais s’obstine à poursuivre Bouvier en dépit des réserves des experts psychiatres

Tavernier réussit un double portrait. C’est d’abord la confrontation équivoque et subtile entre deux hommes que tout oppose, mais aussi la peinture d’une société caractérisée par la répression ouvrière, l’âge d’or du colonialisme, et l’arrogance d’une bourgeoisie s’appropriant tous les pouvoirs, politiques, militaires, économiques et moraux. Cinéaste de gauche, Tavernier porte un regard féroce sur ce beau petit monde mesquin et condescendant.

Ce qui passionne Tavernier dans ce face-à-face, c'est l'affrontement de deux violences. Une violence démente, incontrôlable, et une autre légale, répressive, insidieuse. L'une comme l'autre sont révélatrices des dérives d'une époque grisée de fanatismes. Tavernier dénonce une justice de classe et les excès du pouvoir. Bouvier, le tueur dévot, ne sera pas tant jugé parce qu'il trucidait les chairs fraîches que parce qu'il émettait des théories dangereuses pour la société bourgeoise. Comme le dit le procureur, un royaliste maurrassien et antisémite : « C'est un pauvre, il n'a aucune chance ! » C'est l'époque où les dames font signer des pétitions « patriotiques contre le traître Dreyfus » aux clochards contre une assiette de soupe, où l'on brûle les livres de Zola en place publique.


Anecdote : Le réalisateur a commandé trois chansons spécialement écrites pour le film. La seconde, La Complainte de Bouvier l'éventreur est interprétée dans le film par Jean-Roger Caussimon lui-même.



vendredi 7 avril 2017

Joseph Vacher (1)

Joseph Vacher Nom : Vacher
Prénom : Joseph
Surnoms :  Le Tueur de bergers
                   L’Eventreur du sud-est




: 16 novembre 1869
A : Beaufort (Isère)
Nombre de victimes : Condamné pour un seul meurtre et viol, il en a avoué 11 au cours de sa détention. On lui en suppose un nombre bien plus important.

Sa vie :

Joseph Vacher est né dans une famille modeste de paysans. Très jeune, il se démarque par son caractère violent. Après une éducation chez les frères maristes, il s’engage dans l’armée. De caractère Instable, il tente de se suicider après une déception amoureuse. Il garde de cette tentative de suicide de graves lésions cérébrales qui lui vaudront d’être interné en hôpital psychiatrique. Considéré comme guéri, il sera remis en liberté en 1894 et entame une vie d’errance. Jusqu’à son arrestation en 1897, le vagabond Joseph Vacher va parcourir une grande partie de la France.

Ses Crimes :

On suppose que Joseph Vache aurait commis plusieurs crimes dans sa jeunesse (meurtres et viols ante et post-mortem). Mais c’est surtout pendant sa période d’errance qu’il a sévit, répondant à des pulsions violentes incontrôlées. A l’époque, la coopération policière en est à ses balbutiements. Il est ainsi difficile de faire une liste exhaustive de ses victimes.

Enquête :

L’arrestation de Vacher n’est pas le résultat d’une enquête. Arrêté en Ardèche pour outrage public, il est déféré au tribunal de Belley à la demande du juge Emile Fourquet. Grace à un faisceau d’indice, ce dernier le soupçonne de plusieurs meurtres dont celui de Victor Potalier à Bénonces. Par la ruse, le juge Fourquet fait passer Vacher aux aveux.

Condamnation :

Bien qu’il ait avoué onze crimes, Joseph Vacher ne sera jugé que pour le meurtre de Victor Potalier. Malgré d’âpres débat sur sa santé mentale, il sera finalement reconnu sain d’esprit et condamné à la peine  capitale. Il sera exécuté le 31 décembre 1898 à Bourg en Bresse.

mercredi 5 avril 2017

Jack l'Eventreur (3)

Jack l'Eventreur au cinéma : suite et fin

From Hell (Albert Hughes 2002)

avec Johnny DEPP, Heather GRAHAM, Ian HOLM, Robbie COLTRANE


Synopsis : En 1888, à Londres, dans les rues mal famées du quartier de Whitechapel, un tueur en série, surnommé Jack l'Eventreur, rôde. D'une étonnante précision, ce mystérieux personnage éventre, la nuit tombée, des prostituées.
C'est ici qu'entre en scène l'inspecteur Fred Abberline. Cet agent de Scotland Yard comprend rapidement que ces crimes procèdent d'une mise en scène élaborée et supposent un "doigté" d'artiste, un sang-froid à toute épreuve et de solides connaissances en anatomie.

Adaptation de l’excellent roman graphique d’Alan Moore, From hell vaut essentiellement par la qualité de la reconstruction du Londres de la fin de l’époque victorienne. Johnny Depp dans le rôle principal fait du Johnny Depp, les autres acteurs sont au diapason, ni bons ni mauvais. Le film traine un peu en longueur.


Anecdote : From hell a été tourné à Prague et ses environs dans un champ où fut fidèlement reconstitué le quartier de Whitechapel avec entre autres sa Commerce Street et sa Christ Church.

Le chef décorateur Martin Childs conçut cette réplique en une semaine à l'aide de centaines de dessins et de photographies. Il fut bientôt rejoint par 170 menuisiers, peintres et autres artisans qui travaillèrent pendant douze semaines à la construction de l'édifice.


lundi 3 avril 2017

Jack l'Eventreur (2)

Jack l’éventreur au cinéma


The lodger (les cheveux d’or) (Alfred Hitchcock 1927)

avec Marie AULT, Arthur CHESNEY, Ivor NOVELLO, Reginald GARDINER


Synopsis : À Londres, l'« Avenger », un tueur en série assassine des jeunes femmes blondes, dans le style de Jack l'Éventreur.
Un homme à l'air mystérieux se présente pour louer une chambre chez M. et Mrs Bunting. Daisy, leur fille blonde comme les victimes du tueur, s'éprend de l'étrange locataire. Joe, le petit ami de Daisy, est le détective chargé de l'affaire. Il devient jaloux du locataire et le soupçonne d'être l'Avenger.

Quand le film leur fut présenté, les producteurs le jugèrent mauvais et furent sur le point d'arrêter là la carrière d'Hitchcock.
Le réalisateur  fait déjà preuve d’une grange inventivité. Comme le film est muet, pour montrer les logeurs imaginant leur locataire faisant les cent pas à l'étage au-dessus, celui-ci est filmé à travers un plancher en verre.

Anecdote : Le film est l’objet des 2 premiers cameo d’Hitchcock assis derrière un bureau au journal, puis parmi la foule lors de l'arrestation.





Le dossier en cours

Sherlock Holmes (3)